Tame Impala nous séduit tout en subtilité

Si vous êtes un habitué des festivals, vous connaissez déjà forcément Tame Impala.

Une barbe hirsute et une dégaine hallucinée, Kevin Parker a mené son groupe sur toutes les routes d’Europe cet été. Et c’est loin d’être fini : ils seront présents à Rock en Seine ce week-end, puis enchaîneront les festivals en Ireland et au UK.

 

J’avoue ne les avoir découverts qu’à la sortie de leur troisième album « Currents » , mais j’ai été immédiatement séduite.

On pourrait qualifier leur musique de « psychédélique » mais ce serait beaucoup trop réducteur. D’ailleurs, le groupe lui-même ne sait se limiter à un seul mot pour définir son style : psychedelic hypno-groove melodic rock music  d’après eux.

Mais pour faire simple, une base d’éléctro douce assez planante et des accents plus rythmés sur certaines chansons sont l’essentiel de leur patte musicale.

On peut citer par exemple l’excellente « Let it happen » qui réussit le tour de force de nous donner envie de danser sur les premières notes, et de nous alanguir sur la fin. On retrouve aussi dans leur musique une petite touche revival années 80 avec le clavier (assez présent sur plusieurs morceaux) qui nous transporte immédiatement dans une ambiance vintage.

 

Globalement leur album est assez doux, ne vous attendez pas à du rock qui déboite. Mais les mélodies sont efficaces, et elle nous entraînent dans un sillage de zenitude qui fait du bien !

Alors on vous recommande une bonne dose un lundi matin sous la pluie pour émerger en douceur et se donner du courage !

Sans modération.

Globalement leur album est assez doux, ne vous attendez pas à du rock qui déboite. Mais les mélodies sont efficaces, et elle nous entraînent dans un sillage de zenitude qui fait du bien !

Alors on vous recommande une bonne dose un lundi matin sous la pluie pour émerger en douceur et se donner du courage !

Sans modération.

Le groupe s’était déjà fait remarquer par les Inrocks en 2014 pour leur reprise de « Stranger in Moscow » de Michael Jackson. On reste dans le style originel de la chanson, mais avec une version qui leur ressemble totalement, entrecoupée de solos aux bruits semblants venir de l’espace et  une version de l’instrumental presque mystique. On adhère.


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